Centre Chiropratique de Romans

La Memoire du Corps

“Pourquoi mes vertèbres ne tiennent elles pas?”

Une des questions qui nous est le plus souvent posée par des patients habitués aux ‘remises en place’ et manipulations en tout genre est celle-ci: “Pourquoi mes vertèbres ne tiennent elles pas?” Un des facteurs qui explique le plus ce phénomène est La Méme modification

- du bassin (avec ‘sciatalgie’ du cotéé opposéé...);

- de la réégion lombo-dorsale ( lumbago, points sous l’omoplate, douleurs thoraciques et abdominales.)

- de la statique des éépaules et de la nuque (irritation initiale ait été ééliminéée. Ces zones ainsi bloquéées en dééfense sont, pour ainsi dire, isoléées du reste du corps. On les appelle “Zones Segmentéées.”

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La méémoire méécanique (ou éémotionnelle ou chimique) du stress est impriméée dans l€€fµµÿÿ

ùùoire du corps. Il existe plusieurs types de méémoires: Méémoire physique, méémoire traumatique et méémoire psycho-affective.

 

Prenons un exemple schéématique:

Imaginons qu’une personne avec un clou dans la chaussure ne se rende pas compte que ce clou est la cae cerveau, ce qui rompt la bonne coordination et l’harmonie de tous les circuits.

LE CORPS EST DIT ALORS SEGMENTE.

Prenons un cas de méémoire traumatique: une personne ayant eu un grave accident de voiture, gardera en méémoire les sééquelles trauma-tiques,,adiations cervico-brachiales, fatigues du

cou...).

Deux ans plus tard, un praticien futéé déécouvre et enlèève le clou. Pensez-vous que le patient va retrouver un ééquilibre parfait du jour au lendemain?

Non, bien sur, parce que le corps a pris l’hhéénergéétiques en plus de la peur de l’accident . Ensuite le moindre signe d’accident, rééel ou imaginéé) peut redééclencher, partiellement ou totalement, les contractures ou spasmes survenus au moment de l’accident initial.

 

Prenons un exemple de Méémoire Affabitude de boiter, c’est àà dire, gardéé en méémoire les programmes de dééfenses acquis qui ont tendance àà persister aprèès que l’irritation initiale ait éétéé ééliminéée. Ces zones ainsi bloquéées en dééfense sont,

La méémoire méécanique du stress est impriméée danse du corps, jointe àà l’humiliation, a impriméé le cerveau. Vingt ans plus tard, le moindre stress affectif entraîînait une inflammation de l’éépaule. Cliniquement, le fait de penser àà son pèère affaiblissait totalement le bras, avec sensation de dislocation, use de sa douleur au pied. Aprèès difféérents traitements inefficaces du pied, elle ‘vit avec’ et s’adapte àà son mal. Son corps est forcéé de co @ ÄÄ®®@PÅÅA # AH nt:

- soit àà dominante para-sympathique (processus de méétabolisme, de réécupéération, auto-guéérison, etc), ou:

- soit àà dominante sympathique (attaque, dééfense, fuite, etc).

 

On ne peut pas se guéérir efficacement quand on est en situation de blocage et deective. Une patiente ayant une ‘péériarthrite’ de l’éépaule, rebelle àà tout traitement, s’est réévééléée d’origine affective. En effet, son pèère l’avait malmenéée dans son enfance en la tirant par le bras, toute en l’injuriant en public. La rééaction dééfensivvalitéé de la paix. Ce raisonnement est applicable dans la plupart des douleurs persistantes “d’origines incertaines.”

 

Toutes ces méémoires dééfensives - zones de segmentations - peuvent s’additioner tout en restant en “hibernation” de faççon silencieuse pendetc!

L’éévacuation de cette méémoire douloureuse au cours des soins de “déésegmentation” et de “resynchron-isation bioéénergéétique” ontermit la guéérison de cette “péériarthrite” chronique.

De mêême, certaines agressions alimentaires peuvent, par leur toxicitéé eie. Un blocage brutal et disproportionnéé peut êêtre le réésultat d’une confusion des programmes de dééfense! Voici pourquoi une simple “remise en place” ne suffit pas toujours àà faire “‘tenir vos vertèèbres.”

 

Faire “bouger ces vertèèbres” peut êêtre bon mais permis la guéérison de cette “péériarthrite” chronique.

De mêême, certaines agressions alimentaires peuvent, par leur toxicitéé et ¸¸leur usage quotidien, encombrer la méémoire organique du corps et provoquer des maux qui semblent disproportionnéés et mal compris. Le contexte affectif du caféé au lait matinal peut insensiblement nous faire adorer le caféé sans plus aucun discernement de sa nocivitéé. Le caféé nous fait “chaud au coeur”, au point d’ignorer les signaux d’alarmes que sont les palpitations, aigreurs d’estomac, maux de têête, angoisses, etc.

 

Reprenons notre patient avec le clou dans sa chaussure. Il travaile en usine sur une macle en usine sur une machine qui le contraint àà un mouvement réépéétitif unilatééral. Son corps est obligéé de s’adapter àà la machine, mais toujours en fonction du clou!

Les adaptations successives provoquent des segmentations (déésorganisations). Chaque ‘segmentation’ est en rééalitéé une rééaction de dééfense et de blocage physiologique.

 

Le systèème nerveux a deux modes de fonctionnement:

- àà dominante para-sympathique (processus de méétabolisme, de réécupéération, auto-guéérison, etc), ou:

- àà dominante sympatil ne sert àà rien si le corps n’est pas “déésegmentéé” et resynchroniséé. Se faire manipuler àà réépéétition peut êêtre néégatif si les causes profondes ne sont pas abordéées.

 

Doutez-vous de la force de la méémoire? Essayez donc d’enfiler votre manteau en commen dééfense. Si une partie du corps est “en guerre,” pour quelque raison que ce soit, celle-ci ne pourra pas guéérir sans quitter le mode sympalque raison que ce soit, celle-ci ne pourra pas guéérir sans quitter le mode sympas guéérir sans quitter le mode sympathique (conflit, survie) pour entrer en mode parasympathique (rééparation et guéérison).

On ne saura jamais trop souligner ce fait important. Notre “Mr. Clou” éétait segmentéé (déésorganiséé, bloquéé en dééfense) àà la cheville, au genou, au bassin, àà la nuqueuque, etc... au point de ne plus pouvoir effacer ces points de dééfense. Ceci malgréé les nuits de repos, et mêême aprèès l’enlèèvement du clou tant le corps éétait habituéé àà se dééfendre! La méémoire de la guerre, éétait - pour son organisme - plus forte que la rééççant par “l’autre manche”! Ou bien allez conduire en Angleterre. Dans ces deux cas, vos rééflexes travaillent contre vous.

 

Pour toutes ces raisons nous priviléégions les soins donnéés aux enfants. Leur capital méémoire est considéérablement plus lééger que cant des annéées. Elles peuvent êêtre rééveilléées àà l’occasion d’un choc, mêême béénin quand le point de saturation est atteint. Une ancienne blessure du genou peut se rééveiller au changement du temps. Ce “rhumatisme” est en rééalitéé un segmentation qui rééagit beaucoup plus dééfensivement que le reste du corps.

Si un simple “faux mouvement” peut vous immobiliser de douleur, ne croyez pas que seul le faux mouvement est en cause. Pensez aux contrariéétéés, aux fatigues, excèès en tout genre, qui ont jalonnéés votre ve

lui d’un adulte. Leur rééaction aux soins est plus rapide. Il nous semble primordial d’ééviter àà nos enfants, surtout dans notre monde “stressant” actuel, l’accumulation de méécanismes de dééfenses, et les segmentations qui en réésultent. Un enfant libééréé de toutes ces méécanismes de dééfense progresse plus plus vite intellectuellement, affectivement, et socialement. Il est plus réésistant face aux agression en tout genre.

Il est aiséé de comprendre maintenant pourquoi nous, Chiropractors, utilisons une palette mpenser ce stress en modifiant la position du pied pour rééduire l’irritation provoquéée par le clou. Aprèès quelques semaines, la mauvaise position du pied entraîîne un déésééquilibre du genou (avec un petit ‘rhumatisme’). Celui-ci àà son tour provoque uneunede techniques difféérentes qui s’adressent àà des cas difféérents, àà des moments de vie difféérents et àà des êêtres difféérents.

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